Février 2018 sera la date de la confirmation de mon « effroi effondriste », terme emprunté à Alexandre Monnin. Depuis cette date, j’explore l’Anthropocène pour en comprendre les rouages et évaluer combien et comment le design a pesé dans son avènement.
En juillet 2018, accompagnée de confrères et consœurs a lieu la première journée de rencontre estampillée du nom d’un collectif : « Common Future(s) ». Sa vocation : offrir un espace de débat pour les designers qui, comme nous, sont convaincu·es de leur responsabilité dans l’apparition de l’Anthropocène et qui souhaitent mieux s’équiper pour l’avenir, ou les avenirs possibles.
Le collectif est un peu en sommeil depuis le début de la crise sanitaire en 2020, mais les travaux faits durant 2 ans sont disponibles sur le site dédié.